Découvrez une foule de gros mots inconnus !
La langue française est décidément très riche... si riche qu'un premier Petit livre des gros mots ne suffisait pas à faire le tour de ses jolis noms d'oiseaux !
Savez-vous par exemple, et sans être numismate, que le " freluquet " désignait au XVIe siècle une pièce de monnaie de peu de valeur ? Que " branquignol " était utilisé dans l'argot des Poilus de la guerre de 1914-18 pour désigner... les brancardiers ? Sauriez-vous comment reformuler en langage plus chââââtié les carpettes, conneaux et autres poivrots ?
Avec drôlerie et gourmandise, Gilles Guilleron explore l'étymologie et l'histoire de quelque 150 gros mots et autres injures, classés par ordre alphabétique. Pour chacun, il propose plusieurs variantes et quelques " traductions " dans les registres courant et soutenu. Des encadrés sur des curiosités culturelles, régionales et lexicales ainsi qu'un index viendront enrichir ce petit dictionnaire.
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C’est comme en politique, ou comme dans les familles : les plus proches revendiquent toujours une passion particulière à se distinguer par la nuance ou l’opposition. Entre la langue française et la langue anglaise, le Channel restera toujours bien davantage qu’un tunnel. Ici et là, combien de mots empruntés au voisin ! Et cependant, combien de différences dans la façon de dire, d’être et de sentir. À plonger dans cette relation avec tout son humour et son érudition, Jean Max Thomson ne risque pas d’être lost in translation. Il ramène les perles, et les fait jouer dans la lumière. Pourquoi est-il si infamant d’être taxé de « versatile » en français, et si valorisant de l’être en anglais ? Pourquoi le libéralisme est-il devenu en français le responsable de tous les maux, et pourquoi le liberalism reste-t-il un idéal outre-Manche ? Jean Max Thomson pense-t-il anglais ou bien français ? Nul ne baigne en tout cas mieux que lui dans la volupté de la différence. Philippe Delerm
Agrégé d’anglais, Jean Max Thomson est pour moitié français, pour un quart américain, un huitième écossais, un seizième anglais et un seizième indéterminé. Il est l’auteur de nombreux manuels, dont The Big Picture et An Apple a Day, aux Éditions Ellipses, qui ont connu un grand succès.
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Découvrir la médecine en 200 notions illustrées !Du sermet d'Hippocrate aux différents types d'examens, des maladies du coeur aux maladies liées à la nutrition, et des maladies génétiques aux cancers... la collection pour les Nuls propose un tour de découvrir les principales maladies et comment la médecine y fait face à travers 200 notions clés illustrées, pour arriver à reconnaitre les principaux symptomes et élargir votre connaissance du corps humain, le tout en un seul livre !
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Nul n'est plus fuyant que le mauvais goût. Qu'il soit relatif, ancré dans son temps, frontière sociale ou revendiqué tel une profession de foi artistique. Dans ce Dictionnaire amoureux intime et partial, Nicolas d'Estienne d'Orves vous invite dans son grenier braillard et cocasse." Le mauvais goût échappe à toute définition, famille ou clan. Tout comme le bon goût, il est relatif, circonstanciel, ancré dans son temps.
Il peut également être une frontière sociale, un racisme de classe. En ce cas, le mauvais goût c'est celui de l'autre, celui qu'on n'a pas et qu'on se défend d'avoir au risque de trahir les siens.
Enfin il y a le mauvais goût patenté, revendiqué, qui n'est pas une attitude, une mode, mais une profession de foi artistique, un manifeste esthétique. C'est -sans doute- ce qu'on pourrait appeler le kitsch. C'est-à-dire un style en soi, des formes volontaires, pensées, destinées à déranger la norme.
Ce livre sera donc, par essence, partial. Avec le mauvais goût, j'entre dans une zone marécageuse. Est-il possible de faire un livre plus intime, plus narcissique, puisqu'il explore la part d'ombre de ma propre sensibilité ?
Petit enfant sous Giscard, adolescent sous Mitterrand, j'ai pris racine dans des époques aux esthétiques très contrastées qui seront forcément présentes dans ces pages. Souvenirs intimes, émissions de télévision, films, livres, plats, commerces, personnages imaginaires ou pas, attitudes de tous poils, mon mauvais goût est une auberge qui n'a rien d'espagnole mais tout d'un grenier. Un grenier braillard et cocasse, que j'ai moi-même tenté de ranger pour les besoins de la cause.
Le mauvais goût ne se partage pas, en ce qu'il est une exploration de nos propres frontières esthétiques, la ligne de crête entre ce que l'on goûte et ce que l'on recrache.
Bienvenue dans mon train fantôme ! "
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Des mots qui cachent bien leur jeu !
Certains mots que nous employons tous les jours révèlent une histoire insoupçonnée... C'est ainsi qu'on découvrira sous le canapé un moustique grec, un mouton à la source du robinet, ou un préfet dans la poubelle ! Et on sera tout étonné d'apprendre que la porcelaine doit son nom à une truie italienne, tandis que le vasistas nous vient de l'allemand " Was ist das? ". Un voyage plein de surprises au coeur de la langue française !
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Empreints depuis l'origine de superstitions et de croyances populaires, les dictons ont servi aux hommes de repères vis-à-vis de l'Univers et de leur propre destinée. Fruits de l'imagination et de la sagesse populaire, ils ont été pour eux autant de moyens de se situer dans le temps et l'espace. Nés aux environs de l'an mil, transmis tout d'abord par la tradition orale avant d'être diffusés par les almanachs, les dictons accompagnent les fêtes religieuses, illustrent l'histoire réelle ou imaginaire de chacun des saints du calendrier dont on espère la protection. Ils suivent les mouvements de la nature, la vie de la fl ore et de la faune. Ils aident les paysans à prévoir le temps, à s'adapter au rythme des saisons. Ils offrent autant de conseils ou de recommandations pour l'alimentation, l'hygiène et la santé. Ils servent à mieux comprendre et interpréter des phénomènes météorologiques souvent perçus comme menaçants. Les dictons ont aussi vocation à illustrer les modes de vie, les manifestations organiques, les façons de se nourrir, de se vêtir et de se comporter. Ils parlent, d'une manière souvent crue et imagée, d'amour, de débauche et de sensualité. Ils jalonnent ainsi chaque étape de l'existence humaine, de la naissance à la mort. " Le dicton permet de dire, tout en n'engageant à rien, pour le plaisir de parler, écrit Agnès Pierron dans sa préface. Il fait jaillir l'étincelle du banal. Par son existence même, le dicton proclame son autonomie. Il circule comme un électron libre, intouchable. " On savoure ici toute la richesse d'un patrimoine linguistique qui a conservé une fraîcheur et une vitalité inépuisables.
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Le tour du monde des proverbes !
Chaque peuple nourrit son âme de pensées, dictons et autres aphorismes locaux venus de temps parfois très anciens. Ce Petit Livre rassemble un beau florilège de proverbes, dictons et adages des quatre coins du monde. Souvent métaphoriques, quelquefois très drôles, ils expriment une vérité d'expérience ou un conseil sage et avisé.Un index par pays permettra aux lecteurs curieux d'en faire une lecture géographique.
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Les discours sur la langue reproduisent des idées reçues qui circulent depuis des décennies. Au-delà des impressions, est-il vrai que les anglicismes abondent toujours autant en français québécois? Les mesures prises depuis les années 1960 n'ont-elles rien donné? Et qu'en est-il des fautes d'orthographe? Est-il juste de dire que les jeunes ne savent plus écrire? Afin de prendre les bonnes décisions en matière de langue, que ce soit pour l'aménagement linguistique ou l'enseignement, il faut avoir l'heure juste.
Cet essai propose un rappel de la manière dont l'anglicisation du français québécois s'est produite, depuis la Conquête jusqu'aux me-sures d'aménagement linguistique mises en place dans les an-nées 1960, ainsi qu'une incursion dans l'histoire passionnante mais méconnue de l'orthographe française. Et si on sortait des discours convenus sur le français au Québec, qu'on les dépassait pour aller plus loin dans notre réflexion collective sur notre langue ?
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Initiez-vous à la langue ukrainienne, communiquez facilement et enrichissez votre vocabulaire.2 000 mots et expressions avec leur prononciation80 thèmes de la vie de tous les joursdes images pour mémoriser le vocabulaireAvec, en plus :des exemples pour bien construire vos phrasesdes astuces pour éviter les piègesdes informations sur la culture et la langueun lexique en fin d'ouvrage
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Connaissez-vous l'Occitanie ? Entre Rhône et Garonne, du Massif central à la Méditerranée, des vignobles languedociens aux Pyrénées, cette région du sud est l'une des plus grandes des régions françaises, avec près de six millions d'habitants.
Pour mieux faire partager ce territoire multiple et contrasté, une trentaine de spécialistes ont établi ce Dictionnaire aux 157 entrées.
On y trouve aussi bien le Pic du Midi que le Port de Sète, des portraits du peintre Pierre Soulages ou des chanteurs Georges Brassens, Charles Trenet, Juliette Gréco ou Claude Nougaro.
Un regard est porté sur les villes de Toulouse et de Montpellier, de Nîmes et de Perpignan, mais aussi de Castres, de Cahors, d'Alès, de Montauban ou encore de Carcassonne et de Lourdes...
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Après son Anthologie de la repartie, Julien Colliat livre 37 stratagèmes pour mater importuns et autres raseurs. Une oeuvre de salubrité publique.
Du silence méprisant à l'insulte, il y a maintes manières de faire face aux cuistres, mufles et autres fâcheux qui gâchent notre quotidien. Une seule riposte sera cependant efficace en toute occasion : moucher l'adversaire au moyen d'une réplique. Une phrase concise, spirituelle et sans contestation possible, qui le fera taire.
À la fois théorique et pratique, ce livre propose 37 astuces imparables permettant, dans chaque situation, de trouver la réponse idéale : du stratagème du miroir à celui de l'écrevisse, en passant par celui du disciple ou du prophète, un véritable vade-mecum pour apprendre et s'approprier l'art de la repartie et du mot bien senti. De quoi sortir la tête haute de tout échange désagréable.
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Vous parlez français, makoua, lingala ou swahili et vous souhaitez en apprendre un peu plus sur l'une de ces langues ? Ce dictionnaire/lexique est fait pour vous. Il reprend toutes sortes de mots de la vie quotidienne, un peu de conjugaison, des maximes, des proverbes ou encore des conseils de prononciation. Tous ces outils vous ouvriront la voie d'accès vers ces différentes cultures.
Hervé ITOUA est né dans les années quarante au Congo. Après des études supérieures à Brazzaville, il poursuit son parcours à l'université pontificale urbanienne du Vatican. Il devient évêque au diocèse de Ouesso et le restera durant vingt-trois années. Depuis 2006, cet évêque émérite exerce dans l'archidiocèse de Paris.
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Un Dictionnaire amoureux qui nous immerge dans l'âme de l'Ukraine (histoire, littérature, poésie, musique, peinture, géographie, gastronomie...) par Tetiana Andrushchuk, violoniste ukrainienne qui fut professeur au Conservatoire national supérieur de Kiev et Danièle Georget, auteure et rédactrice en chef adjointe à Paris Match." Nous sommes un peuple de 42 millions d'habitants sur un territoire plus vaste que la France ou qui l'était, jusqu'à ce que la presqu'île de Crimée lui soit arrachée. Notre civilisation est plus ancienne que celle de la Russie, nos liens avec la France remontent au Moyen Age. L'Ukraine était un royaume avec Kiev pour capitale quand Moscou n'était qu'un bourg au milieu de nulle part.
Pendant plus de trois siècles, nous sommes passés pour la province d'un empire qui nous avait pris jusqu'à notre nom. Mais lorsque les murailles de l'Union soviétique sont tombées, notre " terre qui n'est pas la nôtre " comme l'écrivait le poète, s'est réveillée. Enfin, elle allait pouvoir choisir son destin et cesser de suivre celui imposé par les autocrates de l'Est. Vingt-deux ans plus tard, Vladimir Poutine a cru pouvoir mettre un terme à cette " récréation ". Au nom d'un génocide, sorti de son imagination, contre les russophones, il a cru que ses soldats seraient accueillis avec le pain et le sel. Pour annexer l'Ukraine, il suffisait de cent cinquante mille hommes et d'un déluge de bombes. Écrase-t-on une idée avec un marteau ?
Je suis née à Kiev. Mon père est mort pendant la Seconde Guerre mondiale. Il portait l'uniforme soviétique, comme près de sept millions de soldats ukrainiens. Près de la moitié ont été tués.
Violoniste, professeur au Conservatoire national supérieur de Kiev, j'ai reçu, à Moscou, les conseils du meilleur des hommes, un des rares violonistes dont les Français connaissaient le nom : David Oïstrak, né en Ukraine où il a étudié et commencé sa carrière. Et j'ai aimé de toute mon âme d'artiste la culture ukrainienne, de Chevtchenko, notre Hugo, à Silvestrov, comme j'ai aimé la culture russe, de Tchaïkovski à Tolstoï et Dostoïevski.
Dans l'après-guerre, ma mère qui avait été chanteuse à l'opéra de Kiev, voulut me faire apprendre le français... " A quoi cela lui servira-t-il ? " lui demandait-on. Personne ne pouvait alors quitter l'Union soviétique.
J'aimerais aujourd'hui raconter aux Français pourquoi notre identité n'est pas une invention de Maïdan, et pourquoi les Ukrainiens, tenaces, têtus, courageux, à l'image du boxeur Klitchko, montagne des rings qu'aucun coup ne parvenait à ébranler, font envers et contre tout, et depuis si longtemps, le choix de l'Europe et de la démocratie.
Une nation est, comme un diamant, composée de milles facettes, si scintillantes que parfois elles nous aveuglent. Nous sommes le passé, le présent, les vivants et les morts, l'histoire et la géographie, la poésie, les oeufs peints de Pâques, les chemises brodées, le bortsch. Et la passion.
La Russie, si prompte à renouer avec ses vieux démons, nous accuse du crime de fascisme : mais qui se trompe d'époque ?
Aux femmes qui ont accouché sous les bombardements, à ceux qui se sont terrés dans leurs caves, à ceux qui ont passé leur rage en fabriquant des " cocktails ukrainiens ", à ceux qui tiraient les missiles stinger, à ceux qui distribuaient la nourriture dans les supermarchés, à ceux qui posaient les garrots, à ceux qui les fabriquaient, au sniper qui abattit le général Tchétchène, à tous ceux qui se sont battus, à ceux qui ont attendu. Et même à ceux qui doutent encore que l'Ukraine existe, je dédie ce livre. "
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" [...] il disoit qu'il n'y avoit qu'une antistrophe entre femme folle à la messe et femme molle à la fesse. " François Rabelais, Pantagruel, 1532
Le patrimoine littéraire - de Victor Hugo à Queneau, Vian ou Frédéric Dard... - offre quantité d'exemples de contrepèteries ou antistrophes revendiquées par leurs auteurs. Mais les plus savoureuses ne sont pas forcément les contrepèteries volontaires.
De jolies clandestines, fruits du hasard, se glissent malicieusement sous la plume de romanciers respectueux et respectables, de poètes bien sérieux... Les lettres inversées révèlent un sens caché réjouissant, et souvent, disons-le clairement, furieusement rude. Mais délicieusement... drôle !
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Des rives de la Caspienne au littoral de la mer Noire, Nathalie Courtet et sa coéquipière nous entraînent dans un monde et des cultures longtemps fermés aux Occidentaux, à la fois surprenants et terrifiants, trop souvent ignorés. Loin des sentiers battus, dans des paysages parfois grandioses, parfois déprimants, elles vont tracer leur route et leur destin.
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Dans un récit plein de surprises, Hervé Bellec remet son personnage de Bob Kerjan en selle pour un road trip à travers cette Bretagne historique qu'il chérit. 80 jours comme autant d'étapes que l'auteur nous propose au départ de Nantes en hommage à Jules Verne.
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" Je n'ai à vous offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. "Winston Churchill " Paris vaut bien une messe ! "Henri IV " Impossible n'est pas français. "Napoléon I erNombreuses sont les citations qui ont fait l'histoire... ou qui la résument si bien. Piochez parmi les 150 citations de ce livre, classées selon une dizaine de thèmes, pour enrichir vos écrits ou cultiver votre sens de la repartie !
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« Une heure n'est pas qu'une heure, c'est un vase rempli de parfums, de sons, de projets et de climats. » Tel est le temps pour le Narrateur d'À la recherche du temps perdu. Mais qu'en pensent les physiciens ou les mathématiciens à l'époque de l'horloge atomique ? Qu'en disent les géoscientifiques ou les neuroscientifiques ? Les linguistes et les artistes ? Quant au temps chronologique de l'historien, qu'a-t-il à voir avec celui de l'écrivain ?
C'est à cette confrontation que nous convie le présent dictionnaire issu des travaux du collectif ProusTime : penser le temps avec Proust, des sciences humaines aux sciences exactes en passant par les arts. Traces neuronales et traces du land art, archives historiques et archives environnementales, histoire des sociétés humaines et histoire de l'univers... Dans ces pages se font jour autant de conceptions du temps et de la mémoire qui croisent celles de la Recherche. L'anachronisme y côtoie l'oubli, l'ellipse y voisine avec le progrès et une mystérieuse pelote de laine n'est pas loin d'une pédale de piano...
Autant d'échappées belles avec le plus grand spécialiste du temps : Proust lui-même !
Avec la contribution des membres du groupe ProusTime : François Charru, Jean-Marc Devaud, Anne Le Draoulec, Gaël Le Roux, Marie-Paule Péry-Woodley, Isabelle Serça, Gérard Tiné et Colette Zytnicki
et la participation exceptionnelle de Jérôme Bastianelli, David Bellos, Alain Connes, Francis Eustache, Maylis de Kerangal, Étienne Klein, Maryse Perrin, Nicolas Ragonneau et Jean-Yves Tadié
Illustration de couverture originale par Stéphane Heuet
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Pourquoi met-on un s au pluriel des noms ? Pourquoi dit-on appeler, mais j'appelle ? Pourquoi le e se prononce-t-il [a] dans femme, solennel, évidemment ? Pourquoi dit-on le fils de César, mais un fils à papa ?
Certaines questions existentielles jalonnent le chemin tortueux de notre existence. Qui suis-je ? D'où viens-je ? Où vais-je ? Et surtout : pourquoi dit-on
des chevaux ? En tant que Françaises et Français, c'est notre destin : nous sommes parfois tourmentés ou intrigués par notre propre langue. Mais peut-être pouvons-nous chercher les raisons de ces " délices " du quotidien afin de les savourer ?
Dans ce livre, Julien Soulié répond avec humour et érudition à 100 questions que nous nous sommes tous posées sur la langue française. Que les règles (absurdes) du français relèvent de changements de prononciation et d'usages selon les époques, ou de choix arbitraires de grammairiens parfois frustrés, les pourquoi du français n'auront plus de secrets pour vous !
30 prêts - 2190 jours
Vous hésitez toujours entre des chacals et des chacaux ?Vous ne savez jamais où mettre de -s dans les mots composés ?Et ne parlons même pas des accords du participe passé, qui vous donnent des sueurs froides !Grâce à ce petit livre, résolvez tous vos problèmes d'accord : noms, déterminants, adjectifs, adverbes, participes, verbes... Aucun domaine ne sera laissé de côté, si ardu soit-il, pour que l'accord parfait règne enfin !
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Depuis quelques années, notre langue évolue et s'enrichit de nombreux apports extérieurs : mots nouveaux qui s'imposent à elle, s'y incrustent très rapidement, s'y développent insidieusement. Ils sont souvent le produit d'activités récentes, de nouvelles technologies, de comportements sociologiques modifiés, d'évolutions de mots anciens, mais aussi de détournements imprévus, relayés et amplifiés par les médias et les réseaux sociaux qui servent de terreau et de tremplin à ces nouveaux venus. Les transformations, les déformations ainsi que les utilisations détournées et imposées au fil du temps les ont peu à peu alourdis, parfois enlaidis.
À travers sa propre liste de près de 300 mots que l'auteur considère comme peu fréquentables, il présente une vision politique de la langue et dénonce une société superficielle, arrogante, intolérante et raciste. Avec souvent humour et dérision, il partage des éléments historiques, étymologiques et mythologiques. Il arrache aux mots leurs secrets, les palpe, les chatouille et les titille.
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Près de 90 auteurs ont participé à ce Dictionnaire amoureux. Chacun avec ses mots, son style, son regard, son expérience, ses propres convictions d'entrepreneur mais aussi de philosophe, artiste, syndicaliste, essayiste, écrivain, humanitaire, religieux, économiste ou universitaire. Victor Hugo déplorait déjà l'ingratitude " pour le don nécessaire, jamais pour le don du superflu " et le manque de reconnaissance pour celui qui " vous donne le pain quotidien " contrairement " à qui vous donne la parure ". C'est sur ce constat qu'est née l'idée de ce Dictionnaire amoureux. Il répondait à un besoin, celui de la reconnaissance. Celui aussi de partir à la conquête du coeur des Français auprès desquels l'image de l'entreprise et des entrepreneurs est dépréciée.
Et pour ce faire rétablir quelques vérités premières. Proclamer que l'argent n'est pas forcément sale, que les patrons ne sont pas tous des voyous, que faire du profit n'est pas honteux, que le laisser-faire n'entraîne pas naturellement le laisser-aller. Bref, faire la pédagogie de l'entreprise, ce que notre école se grandirait de mieux faire.
Dire que la raison d'être de l'entreprise n'est pas la quête exclusive et frénétique du profit et que souvent mieux que d'autres, elle est au service du bien commun.
Dire qu'elle n'est pas à l'origine de nos problèmes, les inégalités sociales, la pollution et les discriminations mais qu'elle en est la solution.
Dire aux jeunes si méfiants vis-à-vis de l'entreprise qu'ils y trouveront souvent mieux qu'ailleurs la réponse à leur quête de sens, d'éthique et d'intégrité.
Que créer son entreprise est une aventure enthousiasmante qui n'est pas réservée à une élite diplômée mais ouverte à tous ceux qui veulent réussir leur vie et le faire au service des autres.
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La nouvelle édition du dictionnaire A à Z de culture générale : un outil indispensable pour tous ceux qui veulent consolider leur culture générale.
Un dictionnaire encyclopédique illustré
225 entrées classées par ordre alphabétique et couvrant tous les champs de la connaissance :
o histoire, géopolitique
o sciences politiques, sciences économiques et sociales
o sciences et techniques
o philosophie
o littérature, histoire de l'art
Une vision actuelle de la culture générale
o Des synthèses problématisées
o Des encadrés « Enjeux contemporains »
o Des bibliographies pour aller plus loin
Des annexes efficaces
o Un index détaillé permettant de faire une recherche sur près de 3 000 mots-clés
o Une présentation du programme de culture générale en classe préparatoire commerciale, avec des renvois vers les entrées correspondantes
Pour qui ?
L'ouvrage s'adresse particulièrement aux étudiants qui préparent une épreuve de culture générale. Il concerne plus largement tous ceux qui, au-delà des réponses des encyclopédies en ligne, souhaitent disposer d'articles de fond sur des thèmes clés d'hier et d'aujourd'hui.
30 prêts - 60 mois
La nouvelle édition du dictionnaire de référence sur la littérature française : un outil indispensable pour les lycéens et les étudiants du 1er cycle universitaire.
o Classés dans l'ordre alphabétique, 600 articles permettant de couvrir :
- les principaux mouvements et courants littéraires ;
- les auteurs majeurs et les oeuvres phares ;
- les personnages célèbres ;
- toutes les notions littéraires (genres, registres, figures de style, etc.).
o Cette nouvelle édition prend en compte le nouveau programme de français en 2de et 1re. Elle intègre notamment des cartes mentales sur les thèmes clés de ce programme.
o Un outil indispensable aux lycéens, pour préparer l'épreuve anticipée du bac de français, et aux étudiants du 1er cycle, pour approfondir leur culture littéraire.
Un ouvrage qui s'adresse également à tous ceux qui s'intéressent à la littérature française.
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