« Je me prénomme Jan Cocheril et je suis né à Saint Briac, en Ille-et-Vilaine, en Bretagne, en 1771. À cette époque-là, sous l'autorité de l'église et de ses puissants représentants, la date de naissance n'avait que peu d'importance. [...] Maintenant, bien des années sont passées, mais je vais vous raconter les événements qui se sont déroulés en 1788 et en 1789, dans mon village, petit port de pêche et de constructions de navires à l'époque, et qui ont guidé mon choix d'être ce que je suis maintenant, à savoir, capitaine dans la gendarmerie. » Orphelin d'un père marin dès l'âge de 10 ans, Jan Cocheril grandit en soutenant sa fratrie et en aidant sa mère. Cette dernière, à jamais meurtrie par la disparition de son mari, ne souhaite pas que ses enfants envisagent leur futur professionnel en mer. Dans ce petit village breton, laboureur est le métier le plus répandu, mais il n'enthousiasme pas Jan qui, pourtant, ne veut pas accroître l'angoisse maternelle. Cependant, l'assassinat de la femme de l'aubergiste offrira au jeune homme une autre perspective d'avenir puisqu'il sera sollicité pour enquêter discrètement sur ce crime. Cette investigation secrète et réussie marquera le début de sa carrière... Une intrigue ingénieusement menée et relatée dans un style captivant.
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L'immoralité de certains, qui usent et abusent de leur pouvoir, de leur position ou de la mission qui leur a été confiée à des fins égoïstes et souvent criminelles... voici ce que continue à traquer et dénoncer G. Martinez dans ses chroniques judiciaires indignées et implacables, qui placent dans une lumière crue même les plus puissants. Rappelant les vices, méfaits, tricheries, tromperies, détournements que l'actualité a tôt fait de balayer, il signe un volume au ton scandalisé qui ne manque pas de toucher des lecteurs et lectrices interloqués par le laisser-faire et l'inadmissible.
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Gabriella Bianco nous invite à revivre son histoire d'amour avec Magdalena Pokorny et la développe dans une forme très dramatique, à travers des structures solides et impeccables, « mettant en scène » les événements devant nos yeux choqués et nos coeurs émus. Avec une participation profondément émotive, Gabriella Bianco nous fait revivre le destin implacable qui unit Wolfgang A. Mozart et Constance Weber, Magdalena Pokorny et Franz Hofdemel. Dans le rythme vertigineux qui marque la cadence des mémoires, dans l'articulation pénible des événements, qui présage la tourmente qui tombera sur eux avec toute sa violence, à travers l'inquiétude et la tension de chaque épisode, tous ces éléments constituent le style propre à cet auteur passionné, qui traite du baroque, du classique et du romantisme en musique avec compétence. Dans le style et le feu romantique de cet auteur, nous reconnaissons son personnel « Sturm und Drang », qui nous parle, dans cette histoire d'incomparable beauté tragique, de l'amour dans la vie et dans la mort, exprimé dans le Concert 595 « Pour Magdalena » de Mozart ! (Catalogue Kchel 595 Début : 4 mars 1791 Vienne). Carlos Vera, critique littéraire et musical, Telam Agence de Nouvelles, Buenos Aires, 2006
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